« Là-Bas » Philibert DELECLUSE.

« Philibert Delecluse joue sur la corde des vraisemblances; l’univers qu’il décrit se situe dans un no man’s land, un décor dans lequel nous avons assez d’éléments pour identifier un endroit ou, au pis, un type de lieu. « La forêt », « La mer », « Un chantier », etc. Mais la surprise peut être générée par le décor lui-même. L’orée d’un bois donne directement sur un centre ville. un grand chantier bardé de grues et de pelles mécaniques a pris place dans un paysage bucolique comme on en trouve dans les oeuvres de Valerius de Sadeleer. la porte d’un bâtiment à l’architecture hypermoderne s’ouvre sur un terrain vague. Une colonne métallique au milieu des bois.

Si la surprise n’émane pas du paysage, elle viendra alors des personnages qui y figurent: un ours brun, un chien, un sanglier violet, une jeune biche et unhomme ensemble sur un radeau. »

Etienne Tilman (extrait).

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« Mes pères sous les draps verts ». André CHABOT.

« Historique ou mythique, authentique ou excentrique, biographique ou fantasmagorique, cet arbre généalogique, physiognomonique, héroïque et hyperbolique doit être visité en conservant à l’esprit la formule de Boris Vian: Cette histoire est vraie puisque je l’ai inventée. »

André Chabot.

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« Viaggio nell’ombra » I. Bressan e M. Pellizzola nei margini della pittura

Format: : 14,5 x 23 cm

174 pages .

Achevé d’imprimer en mars 2014 par la Tipographie Guntenberg. S.r.l. Fisciano

ISBN 978-88-7554-069-2

Ombre  Massimo Bignardi   

Dans ce recueil d’essais écrits par plusieurs auteurs, dédié au thème de l’ombre, nous voulions résumer par la vivacité d’un débat à six voix, la construction d’une expérience que mènent séparément depuis plus de dix ans les artistes Italo Bressan et Marco Pellizzola décidés à exposer par une présentation à quatre mains sur plusieurs sites en Italie et à l’étranger. Une recherche toute centrée sur la peinture, sa capacité d’agir comme territoire de transits nouveaux, le tout à la lumière de l’expérience de l’enseignement que les deux artistes pratiquent dans leurs cours à l’Accademia di Brera de Milano. Au départ, des toiles, des cartes, des chiffres et des chemins abstraits que Bressan et Pellizzola ont « jeté sur la table » engageant Ada Patrizia Fiorillo, Valeria Tassinari, Giovani Iovane et moi-même à les examiner soigneusement, chacun dans son champ de recherche et d’étude. Sans doute cela rétrécit-il le sujet d’où la nécessité d’ouvrir le débat à d’autres contributions, en élargissant l’horizon pour camper le tout en expressions polyphoniques. Néanmoins – il ne pouvait pas en être autrement-  quelque chose est « laissé sur le terrain » et on en demande pardon. La donne qui émerge est certainement d’un grand intérêt réclamé par cette question; un intérêt qui nous amène à nous attarder dans les zones qui partagent l’identité culturelle typique de notre temps multiforme, quoique monolithique si décriée en ces temps de la culture mondialisée dominante. Le temps de l’ombre, tel que décrit par Peter Willburger dans la gravure bien connue «  Stiegen und Schatten » en 1982, est résumé dans cette image qui représente la variation (en séquences) d’une bande d’ombre tirée de l’aube au crépuscule sur les escaliers de sa maison de Raito, porte d’entrée de la côte amalfitaine. C’est toujours le même cliché qui, de gauche à droite, change dans la métamorphose du signe, la nature de la lumière et de l’ombre. Un titre qui, en lisant l’intitulé, se retrouve dans la forme de lignes d’ombres qui dessinent les perspectives, la perte de l’initial point de fuite de la peinture et qui enfin noue le dialogue avec la photographie, le théâtre, le cinéma et, surtout, l’histoire initiale. On n’y évoque pas le retour vers le passé, au contraire on y donne, à l’ombre la valeur d’un témoignage de notre époque, identité réelle de notre présent.

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La zona rossa

Le 6 avril 2009 la terre tremble dans la ville de l’Aquila au centre de l’Italie.
Trois cents personnes perdent la vie.
Beaucoup dans la « zone rouge » désormais interdite au public au coeur de la ville historique.
Après cinq ans de polémiques, la presse détaille la corruption dans les travaux qui retarde la
reconstruction…
Notre réseau d’amitiés constitué depuis vingt ans autour de Marco Pellizzola, Sergio Nannicola,
…professeurs à Brera- Milan a aidé l’infatigable Alain Breyer à fixer décors et habitants.
Un ouvrage de cent pages a été présenté à la date anniversaire de la catastrophe le
Dimanche 5 avril de 18 à 20 heures
à L’Aquila
Dédicacé par Alain et disponible, pour nos membres, au prix de 15 € au lieu de 22 € réclamés en librairies.
En août 2016 un échange permettra à Alain d’exposer ses images à Mons et Sergio Nannicola, les siennes,
Pour Koma.
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