Editions

« Le regard se fait lieu ». Domenico PIEVANI.

Edition d’une plaquette concluant un cycle d’expositions.

« Domenico Pievani pratique la métaphore par association d’objets. Chaque forme, chaque figure fait partie d’un discours spirituel. Les objets sont pour lui un alphabet dans un dialogue créatif qui se structure avec le lieu. Ce vocabulaire est dépouillé et minimal: un nombre limité de figures élémentaires, de matériaux pauvres. Il structure l’espace à travers le geste absolu qui donne une nouvelle signification aux choses, en leur assignant une nouvelle place et un nouvel art qui réorganise et transfigure les lieux … »

E.De Pascale « La connaissance à l’envers », catalogue d’exposition, Bergamo 2001.

Le catalogue a été rendu possible grâce à:

→ L’école des arts de Braine l’Alleud (B)

→ »Les Amis de l’école des Arts » de Braine l’Alleud, ASBL (B)

→ Le Centre Culturel de Braine l’Alleud ( B)

→ La Fédération Wallonie-Bruxelles ( B)

→ La galerie Koma Mons, ASBL ( B)

→ La Librairie ARS arte+libri ( I)

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« Là-Bas » Philibert DELECLUSE.

« Philibert Delecluse joue sur la corde des vraisemblances; l’univers qu’il décrit se situe dans un no man’s land, un décor dans lequel nous avons assez d’éléments pour identifier un endroit ou, au pis, un type de lieu. « La forêt », « La mer », « Un chantier », etc. Mais la surprise peut être générée par le décor lui-même. L’orée d’un bois donne directement sur un centre ville. un grand chantier bardé de grues et de pelles mécaniques a pris place dans un paysage bucolique comme on en trouve dans les oeuvres de Valerius de Sadeleer. la porte d’un bâtiment à l’architecture hypermoderne s’ouvre sur un terrain vague. Une colonne métallique au milieu des bois.

Si la surprise n’émane pas du paysage, elle viendra alors des personnages qui y figurent: un ours brun, un chien, un sanglier violet, une jeune biche et unhomme ensemble sur un radeau. »

Etienne Tilman (extrait).

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« Mes pères sous les draps verts ». André CHABOT.

« Historique ou mythique, authentique ou excentrique, biographique ou fantasmagorique, cet arbre généalogique, physiognomonique, héroïque et hyperbolique doit être visité en conservant à l’esprit la formule de Boris Vian: Cette histoire est vraie puisque je l’ai inventée. »

André Chabot.

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